Gel douche Dermasens sans perturbateurs endocriniens !

Puberté précoce, effets nocifs sur la reproduction, la croissance, risques pour la descendance... Voici les principales inquiétudes engendrées par ces perturbateurs endocriniens omniprésents dans notre quotidien. Mais, il existe des gammes pas comme les autres garantie 0% comme Dermasens !

Qui aurait pu imaginer que l'évolution de l'industrie en général pouvait provoquer la création de substances chimiques capables de modifier durablement le système hormonal de l'être humain ? Qui aurait pu croire que l'utilisation quotidienne et prolongée de ces substances entraîneraient autant de risque pour le développement de nos enfants ? A l'origine les industriels étaient ils au courant ? En tout cas une chose est sûre aujourd'hui ils sont parfaitement conscients du problème alors que pour nous, consommateurs, nous avons été informé bien plus tard... Malheureusement, bien que l'inquiétude autour de ce sujet monte crescendo, les lobbies des industriels restent les plus forts et ces substances perturbatrices font encore et toujours partie de notre quotidien !

La bonne nouvelle dans cette histoire est que de plus en plus de marques se rendent compte des conséquences nocives, notamment celles de cosmétiques qui font en sorte de formuler des produits plus sains, exempts de ces perturbateurs endocriniens. La gamme Dermasens disponible en pharmacie fut spécialement conçue par le Laboratoire Marque Verte afin de proposer une alternative aux consommateurs inquiets, une alternative économique qui plus est car accessible à tous en terme de prix. 

Dermasens, la gamme 0% de perturbateurs endocriniens

Perturbateurs endocriniens, ce qu'il faut savoir !

Depuis plus d'une dizaine d'années le terme perturbateur endocrinien est de plus en plus présent dans nos esprits et dans les médias mais chose très choquante à mes yeux : les premières études scientifiques réalisées sur ces substances nommées également molécules hormono-mimétiques, ou sur les êtres y étant exposés datent des années 50 ! Soit depuis près de 70 ans, les scientifiques (voire même plusieurs générations de scientifiques) s'interrogent et s'inquiètent du phénomène entraînant tout de même une diminution globale de la fertilité de l'Homme mais également de diverses espèces animales. L'enjeu est pourtant capital car sans fertilité, la survie d'une espèce est remise en cause, la toxicité reproductive de ces molécules entraîna déjà une forte diminution des facultés reproductives de certaines espèces comme pour les alligators de Californie voire même la disparition pure et simple d'une espèce comme en 1988 avec les phoques de la Mer du Nord. 

En 1991, le terme "perturbateurs endocriniens" fut défini par Theo Colborn, une zoologiste et épidémiologiste américaine, un terme général regroupant toutes ces substances ayant des propriétés hormono-mimétiques agissant directement sur l'équilibre hormonal de l'organisme et ce même à faible dose, elles imitent l'effet des œstrogènes naturels. Ces perturbateurs appelés aussi "leurre hormonal" ou "œstrogène like" sont présents partout que cela soit dans le plastique, les jouets, les cosmétiques, les emballages alimentaires, les ustensiles de cuisine, les matelas, les textiles... même dans l'eau car nous rejetons une partie de ces perturbateurs que les stations d'épuration n'arrivent pas à éliminer. Ils procèdent de manière discrète en modifiant progressivement mais sans marche arrière possible notre système endocrinien mais également celui de nos enfants et de leurs futurs enfants.

Les effets nocifs de ces perturbateurs endocriniens sur la santé 

• Baisse de la fertilité des hommes : depuis les années 90 de nombreuses études mirent en lumière la diminution du nombre de spermatozoïdes chez les hommes, les résultats sont inquiétants avec dans certains cas, notamment aux USA, une baisse de 50% de la quantité de sperme entre un fils et son père. 
• Baisse des naissances de garçons : les perturbateurs endocriniens impactant le développement des fœtus modifieraient l'environnement hormonal nécessaire à la naissance d'un garçon. 
• Augmentation des malformations génitales des garçons : notamment d'ectopies testiculaire et des malformations du pénis.
• Augmentation du nombre de fausse couche : avec de plus en plus de fœtus comportant des anomalies génétiques et des taux d'hormones trop élevés.
• Puberté précoce chez les filles : cela touche en France environ 1200 petites filles par an qui se voient femmes trop tôt vers 8 ou 9 ans contrairement à la moyenne de 11 ans. Le cas le plus grave fut en Australie où une petite fille eut ses premières règles à 4 ans ! Cette puberté précoce a de lourdes conséquences : arrêt de la croissance, troubles psychologiques, possibilité d'apparition de kystes ovariens... 
• Augmentation de maladies graves : boom du cancer de la prostate et des testicules chez les hommes, boom du cancer du sein, des fibromes utérins et de l'endométriose chez la femme. 
• Risque d'obésité accru...

Perturbateurs endocriniens ? Les effets nocifs pour nos enfants...

Les femmes en âge de procréer ou enceinte doivent être particulièrement vigilantes, les perturbateurs endocriniens auxquels elles sont exposées peuvent limiter la fécondité et altérer le développement normal du fœtus, et pour celles allaitantes altérer le développement hormonal du nouveau née.

Alors oui, la science et l'aide à la reproduction ont beaucoup évolué mais est-ce le prix à payer ? Dans un siècle ou deux, l'Homme pourra t'il encore naître sans une éprouvette ? Les femmes souhaitant être mères devront elles subir les conséquences des dérives industrielles pour espérer avoir un bébé ? Sommes-nous devenus des OGM version humain ? Une histoire de dingue digne d'un film de science-fiction et pourtant la froideur de cette réalité ne peut être ignorée... malgré les différentes études et la naissance du scandale au début des années 2000, les autorités prennent leur temps.  

Pourquoi ? Car le business est plus important que l'être humain, car si les gouvernements interdisaient tout bonnement ces perturbateurs, les grands industriels des secteurs chimie, petro-chimie et pesticide principalement perdraient de l'argent et même beaucoup d'argent, suffisamment pour justifier l'existence de ce qui se nomme les lobbies et justifier leur travail consistant à protéger les intérêts de leurs industriels. Ces lobbies s'installent dans les parlements et au sein des grandes institutions décisionnaires comme à Bruxelles par exemple, ils manipulent ou utilisent à leur avantage les procédures pour arriver à leur fin et c'est pour cela que ces perturbateurs sont bien ancrés dans notre peau et notre ADN depuis des décennies car la réglementation traîne. 

D'ailleurs pour en savoir plus sur l'action des lobbies pour limiter et ralentir la réglementation sur les perturbateurs endocriniens, je vous invite à consulter cet article où une journaliste enquêta pendant de longues années pour comprendre la situation  => Les méthodes des lobbies pour empêcher la réglementation des perturbateurs endocriniens ! <=

Peut-on éviter tous les perturbateurs endocriniens à 100% ?

Malheureusement la réponse est non, nous vivons dans un monde où ces perturbateurs sont partout, ils sont autorisés par la loi dans de nombreux domaines de l'industrie. Ils sont notre quotidien et il est relativement compliqué de s'en débarrasser. Par exemple : 

• Aimez-vous faire des gâteaux pour vos enfants dans des moules en silicones ? Perturbateurs endocriniens présents... 
• Vos poêles ont elles un revêtement anti-adhésif ? Perturbateurs endocriniens présents...
• Vous avez du parquet à la maison et aimez le cirer pour qu'il soit éclatant ? Perturbateurs endocriniens présents...
• Vous colorez-vous les cheveux ? Perturbateurs endocriniens présents... 
• ....

La liste est très très longue, les cosmétiques ne sont pas les seuls, mais il faut bien commencer par quelque chose non ? Le plus triste dans tout ça est qu'il y a certains produits cosmétiques que l'on adore et qui contiennent ces perturbateurs comme les parabens, le phénoxyéthanol, le silicone, les phtalates...  ce qui complique les choses. 

Dermasens : le gel douche surgras 0% perturbateurs endocriniens !

Dermasens, le gel douche surgras Laboratoire Marque Verte

Cette gamme de soins Dermasens est fabriquée en France dans la région de Nancy (Lorraine) et elle est disponible en pharmacie, elle est formulée sans perturbateurs endocriniens et substances indésirables. Adaptés à tous les types de peaux même les plus sensibles, tous les produits de la gamme, que cela soit les gels douche surgras, les savons, sticks à lèvres ou crèmes mains sont garantis sans paraben, silicone, thiazolinones (MIT), sodium lauryl sulfate, phénoxyéthanol, huiles minérales, chlorohydrate d’aluminium et nanomatériaux.

De cette gamme Dermasens je n'ai testé que les gels douche, d'ailleurs les invités de la première édition de la Beauty Party Marseille de juillet 2017, purent les découvrir en version Monoï, une merveille olfactive de douceur corporelle ! Le Laboratoire Marque Verte proposant cette gamme de gel douche la décline en de nombreux parfums comme violette, fleur d'oranger, frangipanier, orchidée blanche, rose flamingo... disponibles en flacon de 1L ou de 200 ml. 

Et la nouveauté de cet été est une version Mirabelle ! Ce fruit emblématique de ma région natale est une petite prune jaune au délicieux goût sucré, c'est un délice  à déguster en version tarte, confiture, sirop... Il existe aussi la version Schnaps, la liqueur de mirabelle, très forte en alcool. Cette Mirabelle est si je puis dire culturelle, on grandit avec, la Lorraine est d'ailleurs le premier producteur mondial de ce fruit à hauteur de 80% et à la manière de la madeleine de Proust (elle aussi originaire de la Lorraine^^) elle nous renvoie de nombreux souvenirs d'enfance... Je ne pouvais donc que succomber ! 

Coup de coeur authentique pour cette nouveauté Douceur de Mirabelle ! Le gel douche en lui même est semblable à n'importe quel gel douche en apparence, sa mousse onctueuse lave en douceur, le côté surgras évite le dessèchement de la peau et surtout le 0% perturbateurs endocriniens rassure. 

Sans oublier le petit prix car le flacon de 200 ml est à moins de 3€ et le format 1L tourne lui entre 6 et 7€, bien entendu en fonction des pharmacies distributrices il peut y avoir une légère variation du prix. Dans tous les cas, je suis charmée aussi bien par la vision de la gamme prônant le 0% que par le fraîcheur du parfum de cette nouveauté !